Une pépite sombre et inoubliable, bientôt traduite en dix-huit langues et adaptée en série Netflix !
Alors qu’elle sort tout juste d’une cure de désintoxication, Mallory Quinn est engagée comme baby-sitter par Ted et Caroline Maxwell. Elle doit s’occuper de leur fils de cinq ans, Teddy. Mallory est aussitôt sous le charme. Elle a son propre espace de vie, elle sort le soir pour courir, et elle a enfin la stabilité dont elle rêvait. De plus, elle s’attache sincèrement à Teddy, un petit garçon doux et timide qui ne se déplace jamais sans son cahier et son crayon. Ses dessins suivent les thèmes habituels de cet âge : arbres, lapins, ballons. Mais un jour, il dessine quelque chose de différent : un homme dans une forêt, qui traîne le corps sans vie d’une femme.
Les œuvres de Teddy deviennent alors de plus en plus sinistres, et ses bonhommes rudimentaires se changent bientôt en esquisses trop réalistes qui excèdent largement les capacités d’un enfant de cinq ans. Mallory commence à se demander si ce ne sont pas là les échos d’un meurtre ancien, peut-être relayés par une force surnaturelle. Consciente que tout cela relève de la folie, Mallory entreprend néanmoins de déchiffrer ces images… et de sauver Teddy avant qu’il soit trop tard.
« J’ai adoré ce roman. Un style direct et sans fioritures, de réelles surprises, un rythme qui maintient le lecteur en haleine. Et les illustrations sont excellentes ! » Stephen King
« Intelligent et angoissant à souhait, parfaitement maîtrisé, le meilleur thriller d’horreur que j’ai lu depuis des années. Destiné à devenir un classique. » Ransom Rigg, auteur de Miss Peregrine et les enfants particuliers
« Un roman précieux, maîtrisant les règles du genre alors même qu’il s’en éloigne pour en inventer de nouvelles. Une formidable lecture pleine de trouvailles, aussi bien littéraires que visuelles. À partager sans modération. » Scott Frank, réalisateur de la série Le Jeu de la dame
« Vous n’oserez plus éteindre la lumière. » CNN
« Magnifique, terrifiant, et étonnamment tendre. » CrimeReads
« Pour un peu, on croirait aux fantômes. » Kirkus