Depuis toutes ces années où il arpente la Terre en tant que vampire, Bob ne s’était jamais autant attaché à un humain qu’il ne l’est désormais à Népomucène. C’est donc sans hésiter qu’il lui confie ses journaux intimes, dont la lecture montre bien à quel point la schizophrénie est monnaie courante chez les vampires. Car quand on vit aussi longtemps, on finit forcément par cloisonner sa vie… et le manipulateur qui se fait appeler Dorian Gray l’a bien compris. En se jetant droit dans la gueule du loup, Bob se croit-il à l’abri ?