Si Le Prisme noir est l'un des blockbusters du mois d'octobre, un autre livre partagera la vedette avec lui. Ce roman, c'est Vivants d'Isaac Marion. Et ce sera sans doute l'un des bouquins qui fera date dans l'histoire de Bragelonne.

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La sortie de ce livre est un événement en soi. Aussi, on devrait vous en parler plusieurs fois d'ici sa publication officielle, le 21 octobre. D'ailleurs, le mois prochain ne sera composé que de coups de cœur de l'équipe ; chacun pour une raison différente. Et avec Vivants, il s'est passé quelque chose de nouveau. Avant même que l'équipe éditoriale ne le lise et décide d'en acheter les droits, on a compris que ce livre allait être au centre d'une sacrée expérience littéraire.

Décrire Vivants va être à la fois très simple et très compliqué. Heureusement, on a réussi à structurer nos idées durant l'été qui vient de s'écouler, afin de vous le présenter de la meilleure façon. On a donc beaucoup de choses à dire, et on va s'y prendre en plusieurs fois, histoire de ne pas vous perdre.

Non pas que le bouquin soit difficile, pourtant. Au contraire, et il est assez court. Mais ce n'est pas le genre de lecture dont on ressort indifférent. C'est un peu pour ça qu'on s'est permis d'incruster des citations de personnalités (bien différentes, d'ailleurs) sur la couverture et au dos du livre. C'est un premier moyen de vous montrer que n'importe qui y trouvera son compte.

Bon, là, je me rends compte que je ne vous ai même pas parlé du contenu. Mais c'est pas grave. Après tout, on fait un peu ce qu'on veut, sur ce blog, non ? Et on a vraiment envie de communiquer notre intérêt pour ce livre.

Car on est très, très fiers de publier Isaac Marion en langue française. Pour ne rien vous cacher, on s'est battu très durement pour décrocher les droits du livre. Ce n'était pas gagné, en raison du phénomène incroyable qui entoure cette œuvre aux États-Unis. Heureusement, il semblerait que c'est notre passion pour ce dernier qui ait penché en notre faveur. Alors vous nous excuserez ce petit plaidoyer, mais au risque de me répéter, on est vraiment contents. Et puis, vous avez été plusieurs à nous demander qu'on s'étale sur notre ressenti. Et Vivants porte bien son nom, puisqu'il nous en fait vivre, des choses.

Vivants, « c'est une histoire sérieuse se déroulant dans un univers absurde. Il y est question de zombies, mais ce n'est pas un roman de zombies. » C'est comme ça que l'auteur décrit son bébé. Eh oui. On est bien loin de Zombie Story ou de The Walking Dead, par exemple. Si le décor est similaire, ce n'est pas le fond du roman.

On y reviendra. Très vite.

C'est juré, le prochain billet sera plus riche en infos. En attendant, si vous ne deviez retenir qu'une chose, c'est que ce livre nous a marqué à vie, et on espère qu'il en sera de même pour vous, les amis.

 

Sur ce, bon week-end. Et j'en profite pour saluer Maxou, qui relira/corrigera ce TRÈS long texte. Pour son dernier jour de stage, je ne l'ai pas épargné du tout. Merci à toi pour ta patience, ta justesse et ton enthousiasme !

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