Paru en février dernier, La Voie des ombres, premier tome de L’Ange de la Nuit, a confirmé en francophonie le statut de Brent Weeks : celui de nouvelle icône de la Fantasy moderne. À l’aube de la sortie du deuxième opus, on va se permettre d’en rajouter une petite couche.
En effet, où que ce soit, le succès du jeune auteur américain ne se dément pas. Le dernier exemple en date de ce succès public tient à la présence de l’auteur dans le peloton de tête du David Gemmell Legend Award. Les votes de ce prix étant ouverts à la plèbe lectrice du monde entier, y voir débarquer Brent Weeks en tant que finaliste était une surprise… méritée. (Même si c’est Andrzej Sapkowski qui a finalement remporté la récompense.)
Autre exemple que j’ai sous la main (parce qu’on travaille à sa mise à jour imminente), la page Facebook dédiée à Kylar Stern, qui réunit plus de 160 fans, ce qui est franchement pas mal. Mais en plus d’être un succès public, L’Ange de la Nuit en est aussi un du côté des critiques. Pour preuve, je vous invite d’une part à suivre ce lien menant vers une revue de presse concernant le premier tome de la trilogie (ainsi que La Voleuse sans ombre, un autre bouquin avec tout plein de bonnes choses dedans). Après quoi, vous pourrez consulter cette nouvelle vague de chroniques concoctée par Leslie, récemment publiées par les sites suivant :
À quoi s’ajoute cette jolie pelleté de blogs :
J’ajouterai enfin que la popularité de Kylar semble s’étendre au-delà de la sphère habituelle des lecteurs d’imaginaire. Sur le web, on a constaté ici et là que le bouquin plaisait sur des sites n’étant pas directement (ou uniquement) liés à la littérature. Vous savez, cet endroit étrange qu’on pourrait appeler la "geek zone". Le portail généraliste Maxoe en a fait un joli papier, par exemple. Dernièrement, la petite référence que j’ai pu personnellement apprécier s’est tenue sur Gameblog (site sur les jeux vidéo qu’on apprécie beaucoup, chez Brage), juste là. Ca fait toujours zizir.
Donc voilà : vous contents, nous contents aussi.
Et on va l’être encore plus dès le 21 août lorsque paraitra Le Choix des ombres. Pour cette deuxième aventure de Kylar, la team de choc à été réunie de nouveaux: Olivier Debernard à la traduction et Frédéric Perrin à l’illustration. D’ailleurs, voici la couverture. Une nouvelle fois, l’artiste confirme tout le bien qu’on pense de lui grâce à ce dessin qui a un petit côté Batman surveillant Gotham City depuis ses sommets, vous ne trouvez pas ?