Le dernier roman du cycle de Drenaï sorti en France en grand format fut Waylander III : le héros dans l’ombre. C’était en septembre 2007. Après quoi ce fut Troie, la dernière œuvre de feu David Gemmell, que vous avez tous accueillie avec enthousiasme. Nous voulions que le cycle soit publié sans interruption, ce qui imposait de mettre Drenaï entre parenthèses. Mais l’attente est terminée!
En effet, après le succès planétaire du Seigneur de l’Arc d’argent, du Bouclier du tonnerre et de La Chute des rois (dont la version brochée sort à la fin août) et parallèlement aux rééditions très appréciées des premiers livres de Drenaï au format poche chez Milady (Légende, Waylander et Le Roi sur le seuil sont déjà disponibles), Bragelonne vous proposera dès la rentrée prochaine une nouvelle escale dans le monde fétiche du regretté auteur.
Après Druss, Waylander et Tenaka, c’est un nouveau personnage qui vous servira de guide : Skilgannon. Comme ses prédécesseurs, le bonhomme dispose d’un immense charisme et d’un sacré caractère. Il est le héros d’un diptyque formé par Loup blanc, qui sortira donc en septembre, et Les Épées de la Nuit et du Jour, prévu pour un peu plus tard.
Au début du premier roman, Skilgannon le Damné est une icône presque oubliée. À la suite de son dernier triomphe, le Général en chef des armées de la Reine Sorcière a emporté ses légendaires épées et a quitté les terres de Naashan. Les assassins envoyés à ses trousses par son ex-souveraine furent incapables de le retrouver. Trois ans plus tard, loin de là, une rumeur prend forme dans un petit village : Skilgannon serait de retour. Le Damné doit maintenant voyager à travers un royaume hanté par les démons, afin d’atteindre le mystérieux temple où réside une déesse sans âge. Avec des assassins à ses trousses et une armée d’ennemis face à lui, Skilgannon se lance dans une quête pour ramener les morts à la vie.
Mais ce héros ne voyage pas seul : Druss la Légende en personne l’accompagne ! Oui, vous avez bien lu : le guerrier à la hache fait bien partie du casting du livre, sans en être la tête d’affiche, ou plutôt de couverture...
En parlant de couverture, vous pouvez découvrir en exclusivité l’illustration non définitive du roman. C’est une petit cadeau de la part de la direction artistique qui, soit dit en passant, bosse sur d’autres merveilles. (Attendez de voir les couv’ du Choix des ombres ou de L’Étoile de la Sor’cière. ) On a évidemment fait appel à Didier Graffet, l’artiste attitré des romans de Gemmell en France.
Bref, voilà une des belles surprises qui vous attend à la rentrée !