Les amis, ce n’est pas sans émotion que la Bragelonne Dream Team proposera le mois prochain, l'un des ultimes romans de David Gemmell, qui n'est autre que le dernier volet de la saga "Drenaï". Eh si…
… bon, bien sûr, l'auteur nous a légué d’autres petites pépites d’Heroic Fantasy et on se fera un plaisir de vous les faire découvrir. Mais en attendant, une petite larme s’impose. C’est véritablement avec ce cycle que la maison Bragelonne est devenue ce qu’elle est. Le conclure l’année de notre dixième anniversaire nous paraît approprié.
On peut considérer Les Épées de la Nuit et du Jour comme une séquelle de Loup blanc (publié l’an dernier), mais principalement comme une suite spirituelle. Car c’est près d’un millénaire qui s’est écoulé depuis les exploits de Druss la Légende, de Waylander l’assassin ou de Skilgannon le Damné. En Drenaï, les hommes et les femmes vivent dans la peur panique des Jiamads et de leur maîtresse, la sorcière connue sous le nom de L’Éternelle. Pour le genre humain, la seule étincelle de fierté réside dans le souvenir de ces héros du passé, que l’Histoire n’a pas oubliés.
Et si l’un deux revenait à la vie ? Parce qu’une ancienne prophétie annonce le retour de Skilgannon vers son peuple en son heure la plus sombre, Landis Kan décide de tenter le tout pour le tout. L’érudit ayant retrouvé la sépulture du Damné – entre autres – le rituel mystique peut avoir lieu.
Ce Skilgannon, personnage hors du temps, perdu dans un monde aussi étrange qu’un rêve, est séparé de tout ce qu’il connaissait et aimait. Presque tout. La présence d’un géant taciturne à la force extraordinaire représente pour lui le dernier espoir. Par delà la mort et les mythes, les "Légendes" peuvent-elles restaurer la paix ?
Réponse le 16 juillet.
P.S. : Quitte à parler de David Gemmell, rappelons que la cérémonie des Legend Awards se tiendra ce week-end à Londres. Comptez évidemment sur nous pour vous signifier qui sont les heureux élus… en espérant qu’on puisse hisser le drapeau tricolore en Angleterre. Parce qu’en Afrique du Sud, là, c’est mal barré…