Ils ont lu Kushiel et ils ont aimé. Après la présentation du cycle de Jacqueline Carey, que nous avions faite il y a quelques jours, voici les avis de trois personnes ayant approché de près le premier volume, La Marque.

« La Marque est un roman de Fantasy parahistorique à couper le souffle.
Pourquoi l’avoir publié ? C’est simple. D’abord, Jacqueline Carey fait montre dans ce premier roman d’une maîtrise impeccable : intrigues retorses, royaumes en péril, héros flamboyants… tout est articulé à la perfection.
Ensuite, son héroïne est tout simplement irrésistible. Dans un monde où la beauté préside, Phèdre est une courtisane destinée à jouer les espionnes de haut vol. Elle est la meilleure dans son art : celui de recueillir des confidences sur l’oreiller.
Mais ce qui fait d’elle une créature unique et l’objet de désirs passionnés, de la part de princes raffinés comme de rois barbares, c’est son entière dévotion à la déesse Naamah, celle qui n’éprouve du plaisir que dans la douleur.
Et, avec ce qu’elle découvre, elle n’est pas déçue.
Forcément, ç'a retenu mon attention ! C’est beau et ça pique.
»

Claire Deslandes,
éditrice chez Bragelonne


« La Marque est un livre passionnant et dense, que j’ai dévoré.  J’ai énormément apprécié le personnage de l’héroïne, un portrait de femme étonnant, novateur et déstabilisant... Le roman peint d’abord par une ambiance d’intrigues et de luxe, mais tourne, au moment où on s’y attend le moins, vers l’aventure à grand spectacle... J’étais prise – et surprise – par les retournements ! Bref, de l’aventure, de l’épique, le tout agrémenté d’une bonne dose de sensualité, et d’une réflexion sur la soumission et le pouvoir... Que du bonheur. »

Anne Guéro (de ANGE),
auteure d’Ayesha et de La Légende des Tueuses-Démon


« Il y a des livres qu’on referme en se disant qu’ils valaient la peine d’être lus. Il y a des héroïnes qui laissent une nostalgie immense, et même comme un regret – celui de ne pas les avoir rencontrées pour de vrai, de ne pas avoir vécu à leurs côtés.
Kushiel est de ces livres. Et Phèdre nó Delaunay, faut-il le préciser, est définitivement de ces femmes d’encre et de papier impossibles à oublier.
Lire, c’est s’immerger et se laisser porter. Mais traduire – tâche délicate voire ingrate parfois – c’est se mettre au milieu du courant, arrêter la flotte avec ses mains et regarder chacune des gouttes au fond des yeux pour lui faire cracher ce qu’elle a à dire. Avec Kushiel, l’expérience s’est révélée intense et jubilatoire. L’histoire coule d’elle-même, fluide et implacable à la fois, sans que rien n’entrave son cours. Jacqueline Carey a subtilement échafaudé son intrigue, donné ce qu’il fallait de chair et d’humanité à ses personnages, créé un immense tourbillon et mis tout cela en mots avec une plume somptueuse et subtile. L’eau est absolument limpide et chaque goutte est une perle.
Et tiens, voilà d’un coup qu’on s’aperçoit que le tome 1 est fini. Je rêvais et le temps a filé. Argh ! Je veux la suite !
Eh bé, ça tombe bien, je suis dedans et j’y retourne…
»

Frédéric Le Berre,
traducteur de l’ouvrage


Et à propos d'eau... je pense que vous l'avez à la bouche avec ces premiers avis pour le moins emballés! Wink

Un peu de patience, le premier tome de cette série coup de coeur sort bientôt, le 21 novembre. Et en attendant, rendez-vous la semaine prochaine pour une troisième et dernière incursion dans l’univers de Phèdre, avec au programme la mise en ligne de l’illustration de couverture définitive et un extrait du livre.

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