Nous vous présentions il y a quelques jours Odalisque, le dernier-né de l’auteure des trilogies Valisar et du Dernier Souffle. On vous disait alors qu’on reviendrait dessus, ne serait-ce que pour relayer le message que Fiona vous dédie, chers lecteurs francophones.

L’édition française du premier tome de Percheron est disponible en librairie depuis une dizaine de jours. Maintenant qu’elle vous connaît bien (Fiona a eu l’occasion de venir en France par deux fois), notre amie a souhaité que la page de remerciements soit justement à votre attention.

Ce qui suit est donc pour vous. :)

  Il y a des siècles, un voyageur a mis par écrit sa visite de Constantinople. Il a été particulièrement impressionné par le Palais Topkapi et les couloirs interdits de son harem. Il a toutefois réussi à y jeter un coup d’oeil, puis à raconter ce qu’il avait vu et appris. Quelques centaines d’années plus tard, j’ai parcouru ces pages. En 2004, j’ai suivi ses traces lors de ma visite d’Istanbul. Le palais, la ville, le harem royal secret m’ont également impressionnée et inspirée. Ils ne demandaient qu’à faire partie d’une saga de Fantasy, et je n’ai pas pu résister. C’est ainsi qu’est né ce récit. Comme toujours, mes remerciements vont à de nombreuses personnes, dont mon exceptionnelle maison d’édition française, Bragelonne, et son équipe pleine de dynamisme. Un merci tout spécial à mon éditeur, Stéphane Marsan, ainsi qu’à la traductrice, Isabelle Pernot. Merci d’avoir permis à l’histoire de Percheron de prendre vie en français… la plus belle langue du monde ! J’essaie… vraiment, j’essaie de l’apprendre, mais je crois que je ferais mieux de tout simplement venir vivre en France un moment… je n’aurais plus la moindre excuse ! Merci à mes tout premiers lecteurs, surtout à Pip Klimentou, Sonya Caddy et Judy Downs. Matt Whitney, merci pour ma carte ! Quant aux libraires français, j’ai une pensée pour chacun de vous. Il me sera difficile d’exprimer ma gratitude individuellement et en personne, veuillez donc accepter ces remerciements publics. Vous faites un travail formidable en vendant de la Fantasy aux lecteurs impatients. Je suis bien consciente du nombre de romans sur le marché, je suis donc ravie que vous comptiez les miens sur vos étagères. Merci. Par-dessus tout, un grand merci à vous, les lecteurs. Sans vous, il n’y aurait pas d’édition française. Sans vous, je n’aurais aucune raison d’effectuer mon pèlerinage annuel en France, ce qui signifierait que je serais privée de ces extraordinaires macarons au chocolat et de l’occasion de pratiquer mon terrible français ! Je vous souhaite une bonne lecture de Percheron. J’ai beaucoup aimé écrire ce récit exotique, pour vous mortels lancés contre les dieux.
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