Si vous avez consulté nos vœux pour 2013, qui sonnaient comme une preview du programme de cette riche année, vous savez donc que l’une des grandes sensations sera la sortie du premier tome d’un grand cycle français de Fantasy : Le Livre et l’Épée.
Parce qu’on a décidé d’anticiper ce genre de choses, on débute aujourd’hui la mise en ligne d’une série de news dédiée à cette œuvre et à l’énorme évènement que la sortie du livre va représenter.
En toute logique, on commencera par vous présenter son auteur.
Le nom d’Antoine Rouaud vous est déjà peut-être familier si vous êtes abonnés à Neverland, à nos comptes Facebook et Twitter, ou bien si vous avez lu cette interview du bonhomme. Mais tâchons de revenir au début de l’histoire…
Antoine a 33 ans et habite dans a jolie ville de Nantes. Il travaille aujourd’hui comme concepteur-rédacteur pour un célèbre groupe radiophonique, après avoir fait ses premières armes dans une radio associative.
Mais surtout, il aime raconter et écrire des histoires depuis toujours. C’est ce qui l’a amené à développer avec quelques amis une plate-forme de podcasts proposant plusieurs feuilletons radiophoniques, Audiodramax (On vous présentera ce site génial une prochaine fois).
Conteur dans l’âme, c’est en toute logique qu’il s’est mis à écrire. Un jour que Stéphane Marsan, notre directeur, était en déplacement à Nantes pour présenter Les Dragons de la Cité rouge d’Erik Wietzel avec le principal intéressé – et alors qu’à cette époque, notre service des manuscrits était fermé – il a approché Stéphane pour lui proposer un roman. Malgré sa timidité, il y est allé au culot. (C’est toi qui le présente comme ça, Antoine, tu ne m’en voudras pas si je paraphrase !)
Bien lui en a pris. Car Bragelonne a refusé ce livre. Pour être exact, nous avons confié ce manuscrit aux bons soins de Barbara, l’éditrice de Castelmore. Celle-ci a aimé. Beaucoup, même. Seulement le texte était visiblement destiné à un lectorat plus jeune que celui des « jeunes adultes », comme on dit, qui est justement la cible de ce label.
Nous lui avons donc envoyé une lettre de refus. Mais une lettre pas comme les autres. Du moins, pas comme celles que nous avons l’habitude d’expédier. Car dans celle-ci, nous lui demandions s’il voulait bien écrire quelque chose d’autre pour nous. Pour parler de façon un peu plus familière, nous sentions un pu**** de potentiel en lui.
Le soir même, Antoine tenait une nouvelle histoire. Celle d’un guerrier à l’aube de sa vie, d’une République qui a été fondée sur les cendres d’un puissant Empire, d’un livre mythique et d’une épée réputée légendaire.
Je vais maintenant répéter les mots de Stéphane. À l’époque, sur son compte Facebook, il postait ceci : « J'ouvre un manuscrit : chaque chapitre est plus éblouissant que le précédent. Et si notre roman de l'année 2013 était français ? »
Ce livre, c’est La Voie de la colère. Ce livre, il vous sera proposé à la rentrée 2013. Ce livre, il ne sera pas seulement Evénement de l’année pour nous autres les Gaulois, les Helvètes, les habitants du Plat-pays ou encore de la Belle Province. Ce livre, créera sera l’évènement dans plusieurs pays d’Europe comme la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Espagne, les Pays-Bas et bien d’autres.
Vous avez bien lu. Le premier roman d’un nouvel auteur n’est même pas publié dans son pays d’origine qu’il a déjà été acheté pour d’autres marchés. C’est une situation tout simplement inédite. Et folle. Mais méritée…
… et nous en avons déjà trop dit. On reprendra cette fantastique histoire (et on parle bien de l’aventure éditoriale, pas encore du bouquin !) dans un deuxième billet. D’ailleurs, il n’est pas dit que Stéphane ne prenne pas la plume, pour l’occasion.
Rendez-vous dans quelques semaines pour la suite du feuilleton… et réservez un créneau de lecture, après vos vacances d’été.
À la prochaine !