Si le Necronomicon est l’œuvre d’Abdul al-Hazred, poète dément ayant vécu vers 730, Simon est celui qui a fait connaître l’ouvrage maudit. C’est sous ce pseudonyme qu’un évêque orthodoxe, soucieux de ne pas s’attirer les foudres du clergé, a publié la version la plus récente du livre. Originaire de Grèce, il l’a apporté aux États-Unis dans les années 1970. Sa traduction anglaise est basée sur l’une des plus anciennes versions du texte, datant du IXe siècle. Aujourd’hui encore, la réelle identité du moine Simon reste un mystère…